Il n’est pas donné à tout un chacun de parler devant des foules, particulièrement quand il s’agit de parler politique dans un pays qui vit sous le joug d’un colonialiste abject.
Bien avant son arrivé à Alger suite à un exil forcé qui lui fait quitter son pays natal, la Tunisie, ATM montra des talent de grand orateur. Mais c’est dans l’Algérie coloniale de la période de l’entre deux guerres (c’est à dire entre 1925 et 1940 environ) qu’il fera des discours qui lui valent de somptueux éloges tels celui du Chihab d’Ibn Badîs qui le qualifie de « plus grand orateur de l’Afrique du Nord et son écrivain le plus talentueux ».
Cette ébauche d’articles sera complétée bientôt si Dieu le permet.